Avec « Médiocrité », One Time livre un véritable réquisitoire musical contre les maux qui gangrènent la société guinéenne. Une chanson engagée, portée par un clip puissant, entre cri de conscience sociale et appel générationnel.
🗣️ Un artiste qui dérange les silences
Le 7 avril 2025, One Time a dévoilé Médiocrité, son nouveau single, accompagné d’un clip réalisé par Mouctar et produit par Kanavaro Beat. En moins de 48 heures, la vidéo a dépassé les 16 000 vues, preuve que le message touche un large public, notamment chez les jeunes.
One Time ne cherche pas à plaire, mais à réveiller les consciences. Il dénonce frontalement, sans détour ni métaphore, la corruption, l’hypocrisie sociale, les inégalités persistantes, et l’inaction des dirigeants. Médiocrité n’est pas un slogan, mais un mot qui résume la réalité vécue par des milliers de Guinéens. 
🎯 Un message social et politique assumé
Ce morceau s’inscrit dans la lignée des musiques politiques africaines où le micro devient une arme de dénonciation et de responsabilisation. One Time s’adresse directement aux jeunes, souvent exclus du système, mais qui en subissent les conséquences.
Dans le clip, les images sont fortes : elles montrent la précarité, l’abandon, mais aussi l’espoir d’un réveil collectif. L’artiste se fait le porte-voix d’une génération lucide, parfois désabusée, mais toujours combative.
✊ Un positionnement artistique clair
Fidèle à son style, One Time refuse la superficialité. Sa plume est directe, percutante. Il ne chante pas seulement — il interpelle, accuse et dérange. Un style qui divise, mais qui le rend unique dans le paysage musical guinéen.
Avec Médiocrité, il confirme son rôle d’artiste-conscience, à l’image de ces voix africaines qui utilisent leur art pour éveiller les esprits et dénoncer l’inacceptable.
🚨 Un appel à l’action
Médiocrité est plus qu’une chanson : c’est un cri d’alerte. Un appel à rompre avec le statu quo, à assumer une responsabilité individuelle et collective. Il met des mots sur un mal diffus qui bloque les élans, décourage les efforts et tue les rêves.
C’est une chanson qu’il faut écouter, méditer… et surtout discuter. Parce que c’est peut-être là que tout commence : parler, réfléchir, et agir.
